L’effort budgétaire nécessaire pour la France ne peut pas se résumer à des taxes supplémentaires sur l’épargne et les pensions. Ce ne serait ni juste, ni efficace. Par exemple, lorsque le Gouvernement prévoit d’augmenter le taux de la CSG de plus de 20% c’est une augmentation immédiate alors que la suppression des cotisations salariales, censée être une « contrepartie » mais au bénéfice des seuls actifs, se fera en deux temps et ne compensera donc pas la hausse d’impôt en 2018. Tour de passe-passe budgétaire…
Vincent Rolland et certains collègues de son groupe ont déposé et co-signé de nombreux amendements au Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) pour supprimer la hausse de la CSG. Mais la Majorité en a décidé autrement…
